Bâti­ments et indus­tries

La meilleure qualité de l'eau

BWT assure un trai­te­ment profes­sionnel de l’eau, partout où il est présent : dans la construc­tion, les hôpi­taux, l'in­dus­trie et le bâti­ment mais aussi dans l'ap­pro­vi­sion­ne­ment en eau des collec­ti­vités et des communes.
00:00
00:00
Derouler

Bâti­ments et indus­tries

Bâti­ment et indus­trie

Niveau de sécu­rité maximal dans les systèmes d'eau potable et d'eaux indus­trielles, ainsi que pour l'eau puri­fiée et ultra pure des procédés indus­triels

De par sa compo­si­tion, l'eau telle qu'elle sort des tuyaux peut rare­ment être utilisée direc­te­ment dans les commerces, les établis­se­ments de santé, dans le secteur public ou dans la construc­tion ou par les indus­triels . Les exigences sur la qualité d’eau sont diffé­rentes selon les secteurs d'ac­ti­vité. L'ob­jectif de BWT est de fournir la meilleure qualité de l'eau possible dans chaque situa­tion. C'est la raison pour laquelle nos centres de recherche et déve­lop­pe­ment travaillent sur des tech­no­lo­gies et procédés inno­vants de trai­te­ment de l'eau potable, de l’eau de chau­dière, de l'eau de refroi­dis­se­ment, de clima­ti­sa­tion et de chauf­fage, ainsi que de l'eau puri­fiée, ultra pure et de l’eau de process. Et cela dans le monde entier !

Solu­tions spéci­fiques

BWT vous accom­pagne de l'ana­lyse de l'eau jusqu'à la mise en service et à l'en­tre­tien de votre instal­la­tion de trai­te­ment de l'eau, conçue selon vos besoins. Nous réali­sons chaque étape avec la plus grande rigueur tout en garan­tis­sant la sécu­rité régle­men­taire, tech­nique et écono­mique.

Quelle que soit la qualité de l'eau au départ et quelles que soient les exigences auxquelles cette eau doit répondre, BWT propose des solu­tions stan­dard ou sur mesure pour tous les secteurs d'ac­ti­vité :

  • bâti­ments et indus­tries (p. ex. exploi­tants et maîtres d’ou­vrage dans le secteur immo­bi­lier collectif ou tertiaire, coopé­ra­tives immo­bi­lières, hôtel­lerie, indus­trie s agroa­li­men­taire, auto­mo­bile et aéro­nau­tique, pétro­lière ou chimique, sidé­rur­gique ou de l’énergie , fabri­ca­tion du papier et du verre)
  • établis­se­ments de soin et de santé (p. ex. hôpi­taux, établis­se­ments de cure, maisons de repos, EHPAD,... )
  • collec­ti­vités (p. ex. appro­vi­sion­ne­ment en eau potable, piscines et spas, bâti­ments publics, écoles ou crèches)

Eau potable

L'eau et sa compo­si­tion varient selon la région, son aména­ge­ment et sa nature géolo­gique. Des régions béné­fi­cient d'une eau pure, d'autres ont une eau à forte teneur en calcium ou en fer, tandis que d'autres encore ont une eau polluée. Le chan­ge­ment clima­tique et l'aug­men­ta­tion de la popu­la­tion néces­sitent dans de nombreux endroits un trai­te­ment de l'eau afin d'ob­tenir une qualité d'eau potable opti­male. Il est indis­pen­sable d'agir de manière respon­sable avec l'eau, une ressource de plus en plus rare !

Girl drinking water
Girl drinking water
BWT se consacre au trai­te­ment de cette denrée précieuse qu'est l'eau et déve­loppe pour cela des tech­no­lo­gies et procédés d'avenir. Cela concerne tant le trai­te­ment de l'eau de puits ou de source, que l'ap­pro­vi­sion­ne­ment en eau potable des collec­ti­vités et des communes ou bien l'eau pour les bâti­ments. Diffé­rentes mesures sont mises en oeuvre pour filtrer les parti­cules et le calcaire de l'eau afin de protéger les cana­li­sa­tions des dépôts et du tartre. Une gestion complète de l'hy­giène permet d'éli­miner les légion­nelles et autres bacté­ries et fait office de système préventif dans ce domaine.

 

L’eau BWT Perla pour tous

En parti­cu­lier pour les lotis­se­ments rési­den­tiels ayant de gros besoins en eau, BWT a déve­loppé l’eau Perla qui trans­forme l'eau dure, riche en calcaire en eau douce, pauvre en calcaire. Non seule­ment l'eau dure laisse des traces ines­thé­tiques sur la robi­net­terie, le carre­lage et le verre, mais en plus, elle génère des dépôts calcaires

Eau de chau­dière

Dès la créa­tion d'un projet d'ins­tal­la­tions de trai­te­ment pour des chau­dières géné­rant de la vapeur ou de l'eau chaude, avec des tempé­ra­tures de flux dépas­sant 100 °C, certaines direc­tives et régle­men­ta­tions doivent être respec­tées. Faire l'éco­nomie d'une concep­tion et d’un trai­te­ment de l’eau appro­priées est un mauvais calcul : les dépôts s’ac­cu­mulent , créent de la corro­sion et entraînent des dysfonc­tion­ne­ments, engendrent des frais d'ex­ploi­ta­tion et de répa­ra­tion élevés, voire une perte de la valeur de l'ins­tal­la­tion.

Multiple boiler
Multiple boiler
Le trai­te­ment de l'eau de chau­dière garantit un fonc­tion­ne­ment sans problème de l'en­semble de l'ins­tal­la­tion. À ces fins, BWT propose des procédés opti­maux, respec­tant bien évidem­ment toutes les bases légales, les règles d'ex­ploi­ta­tion et consignes du fabri­cant de la chau­dière, de même que la nature de l'eau brute et toutes les exigences portant sur la qualité de l'eau. Et bien sûr, nous n'ou­blions pas de mini­miser vos coûts en matière d'énergie, d'eau douce et d'eaux usées.

Eau de refroi­dis­se­ment et de circuits de clima­ti­sa­tion

Skyline
Skyline

Eau de refroi­dis­se­ment

Dans les systèmes dédiés aux eaux de refroi­dis­se­ment en circuit fermé, les tuyaux sont souvent en plas­tique. Dans ce cas, un remplis­sage unique avec de l'eau adoucie ou démi­né­ra­lisée est suffi­sant.

En revanche, dans les systèmes de refroi­dis­se­ment à recir­cu­la­tion, c'est-​à-dire tous les systèmes à tours de refroi­dis­se­ment, un trai­te­ment de l'eau est presque toujours néces­saire. Comme seule de l'eau puri­fiée s'éva­pore, la concen­tra­tion en miné­raux augmente conti­nuel­le­ment dans l'eau du circuit. Une teneur en miné­raux plus élevée entraîne la forma­tion de dépôts calcaires et de corro­sion dans les tours de refroi­dis­se­ment et dans les cana­li­sa­tions d'eau. En outre, des algues et des parti­cules de pous­sière peuvent boucher les buses, vannes et cana­li­sa­tions de refroi­dis­se­ment. Grâce à l'eau de refroi­dis­se­ment traitée de manière opti­male, BWT contribue au fonc­tion­ne­ment écono­mique et sans problème des tours de refroi­dis­se­ment.

 

Eau de circuits de clima­ti­sa­tion

De nombreux bâti­ments modernes sont équipés de circuits de clima­ti­sa­tion . Les aspects hygié­niques en parti­cu­lier, jouent un rôle central dans la concep­tion et le fonc­tion­ne­ment de ces circuits.

Diffé­rents procédés sont mis en oeuvre pour clima­tiser l'air. BWT adapte le type de trai­te­ment de l'eau en fonc­tion du système utilisé. Des instal­la­tions à osmose inverse sont par exemple souvent utili­sées pour la démi­né­ra­li­sa­tion de l'eau potable, et elles peuvent être complé­tées par des systèmes de désin­fec­tion. L'uti­li­sa­tion d'eau démi­né­ra­lisée permet d'éviter la forma­tion de dépôts biolo­giques ou de dépôts calcaires.

Eau de circuits de chauf­fage

Un système de chauf­fage comporte de nombreux équi­pe­ments : la chau­dière, l'ac­cu­mu­la­teur, les pompes, les vannes de commande, etc. Pour un parfait fonc­tion­ne­ment, tous ces équi­pe­ments doivent inter­agir de manière opti­male. Avant tout, disposer de la meilleure qualité d’eau de chauf­fage est un facteur décisif pour le bon fonc­tion­ne­ment d'un chauf­fage, la péren­nité des équi­pe­ments et le main­tien des perfor­mances éner­gé­tiques.

Floor heating system being installed
Floor heating system being installed
Par ailleurs, dans leurs condi­tions de garantie et leurs instruc­tions d'uti­li­sa­tion, de nombreux fabri­cants d’équi­pe­ments exigent désor­mais le respect des normes et régle­men­ta­tions en vigueur qui défi­nissent préci­sé­ment la qualité de l'eau de chauf­fage (p. ex. VDI en Alle­magne, ÖNORM en Autriche).

Plus de soucis grâce à nos trai­te­ments perfor­mants

Certaines substances présentes dans l'eau peuvent entraîner des problèmes dans le circuit de chauf­fage : des dépôts, calcaires par exemple, peuvent notam­ment nuire à la diffu­sion de la chaleur. Une couche de tartre d'un milli­mètre seule­ment augmente les besoins en énergie de dix pour cent. En outre, un pH incor­rect, un apport trop élevé en oxygène ou une charge orga­nique trop élevée peuvent conduire à la corro­sion et à l'obs­truc­tion de diffé­rents compo­sants du chauf­fage. C'est seule­ment avec une eau de chauf­fage correc­te­ment traitée que le chauf­fage fonc­tionne correc­te­ment sans perdre en effi­ca­cité éner­gé­tique, tout en étant protégé de dégâts poten­tiels.

Eau sans addi­tifs

Les fabri­cants ou instal­la­teurs de chauf­fage ayant la sécu­rité pour prio­rité misent sur l'eau de chauf­fage natu­relle de BWT, sans addi­tifs chimiques. L'eau à faible teneur en miné­raux et exempte de calcaire réduit préci­sé­ment les substances à l'ori­gine des dépôts. Par ailleurs, une teneur en miné­raux adéquate régule natu­rel­le­ment la valeur du pH en quelques semaines.

BWT fournit ainsi une eau de chauf­fage conforme aux normes et sûre. Et si néces­saire, nous remet­tons à niveau votre système de chauf­fage avec des produits pour la filtra­tion, le nettoyage, le rinçage, la purge, le déga­zage et le désem­bouage.

Eau de process

Dans l’in­dus­trie, l'eau est utilisée dans toutes sortes de process. Nous sélec­tion­nons une méthode de trai­te­ment adaptée en fonc­tion de la qualité de l'eau sur site et en fonc­tion du besoin. BWT dispose d'une longue expé­rience dans tous les secteurs d’ac­ti­vité : de l'eau de rinçage, en passant par des instal­la­tions de séchage, jusqu'à la produc­tion d'eau miné­rale ou d'eau de contrôle.

CNC machine coolant
CNC machine coolant
De l'eau démi­né­ra­lisée est souvent utilisée, par exemple pour le rinçage de verres, pour le nettoyage de surfaces de haute qualité, pour l'uti­li­sa­tion d'au­to­claves de labo­ra­toire ou d'ap­pa­reils de nettoyage et de désin­fec­tion. Si l'eau n'était pas démi­né­ra­lisée, il se forme­rait des dépôts calcaires sur la vais­selle et les équi­pe­ments tech­niques.

Eau ultra pure

L'eau tech­ni­que­ment pure, appelée égale­ment eau ultra pure, est incon­tour­nable pour l'in­dus­trie phar­ma­ceu­tique, les labo­ra­toires et les processus de produc­tion indus­triels les plus divers. À la diffé­rence de l'eau potable, l'eau ultra pure est tota­le­ment exempte « d'ad­di­tifs », y compris de miné­raux, de calcaire ou d'autres impu­retés

Purified water being filled in vials
Purified water being filled in vials
Cette eau n'est pas néces­sai­re­ment potable, mais une eau aussi pure est un élément indis­pen­sable pour la fabri­ca­tion de médi­ca­ments, de compo­sants micro-​​élec­tro­niques, de verre ou de bois­sons. Les labo­ra­toires, en parti­cu­lier, utilisent de l'eau ultra pure de qualité constante pour le nettoyage et le rinçage, mais égale­ment comme diluant et exci­pient. En fonc­tion des domaines d'ap­pli­ca­tion indi­vi­duels, BWT fournit une solu­tion de trai­te­ment adaptée à chaque besoin.

Ques­tions fréquentes

Adou­cis­se­ment

Faut-​il choisir un système simplex, duo ou duplex ?

Le simplex clas­sique (1 flacon de résine avec 1 réci­pient à sel) ne sert prati­que­ment plus qu'à l'usage ménager. Pour les gros consom­ma­teurs, l'in­ves­tis­se­ment un peu supé­rieur d'un duo/duplex/multi peut être récu­péré rapi­de­ment grâce à la consom­ma­tion infé­rieure de sel et d'eau de rinçage. Un duplex est constitué de 2 équi­pe­ments simplex qui peuvent fonc­tionner en alter­nance ou en paral­lèle ; un duo consiste en 2 flacons de résine avec 1 commande et 1 réci­pient à sel ; un multi présente plusieurs colonnes, bacs à sel, commandes, ... Un duo coûte à peine plus qu'un simplex, mais offre néan­moins plusieurs avan­tages d'un duplex : eau douce 24h/24 et utili­sa­tion de la capa­cité de résine à 100 %.

Quel type de sel puis-​je utiliser idéa­le­ment pour un adou­cis­seur d'eau ?

Le meilleur sel pour un adou­cis­seur d'eau est un sel sous forme de comprimés. Essayez d'éviter le sel en cris­taux : celui-​ci est moins pur et se dissout moins faci­le­ment, ce qui peut entraîner l'obs­truc­tion du clapet à saumure. Les BWT PERLA-​TABS ont une pureté de 99,6 % et sont dispo­nibles chez les gros­sistes de maté­riel sani­taire proches de chez vous ou sur la boutique en ligne.

Quelle dureté rési­duelle faut-​il sélec­tionner ?

Pour l'eau potable, la norme de 15°f exis­tait anté­rieu­re­ment ; celle-​ci avait surtout été déter­minée pour ne pas corroder trop vite les conduites en cuivre et en acier galva­nisé. Depuis l'uti­li­sa­tion géné­ra­lisée de plas­tique, ainsi qu'en raison des direc­tives récentes concer­nant la maîtrise de la légio­nelle (avec le main­tien à haute tempé­ra­ture des conduites circu­laires d'eau chaude), la dureté rési­duelle sélec­tionnée est géné­ra­le­ment comprise entre 5 et 10°f. Lorsque l'eau adoucie alimente aussi des équi­pe­ments plus sensibles, des duretés rési­duelles plus basses doivent être réglées.

Quelles inno­va­tions tech­no­lo­giques peut-​on encore attendre des adou­cis­seurs ?

Les équi­pe­ments sortis derniè­re­ment néces­sitent moins de sel et d'eau de rinçage : cela s'ex­plique d'abord par l'uti­li­sa­tion de volumes réduits de résine dans des montages duo ou multi ; les recherches ont en effet montré qu'une effi­ca­cité supé­rieure de l'échange d'ions est obtenue à partir de volumes de résine réduits. Dans les grandes instal­la­tions, le gaspillage de l'eau est contré par la mesure de conduc­ti­bi­lité et par la limi­ta­tion des problèmes liés à la fluc­tua­tion de la pres­sion dans l'eau d'ali­men­ta­tion grâce à l'uti­li­sa­tion d'une pompe à jet au lieu des venturi tradi­tion­nels.

Quels filtres d'eau potable existent déjà ?

Il existe une large gamme allant des filtres simples avec cartouches jetables aux filtres à rinçage auto­ma­tique avec contact d'alarme pour les systèmes de gestion des bâti­ments. Des filtres avec systèmes de rinçage à contre-​courant four­nissent aussi, pendant les rinçages, une eau filtrée aux utili­sa­teurs. Les éléments de filtre tissés doivent être évités étant donné que les parti­cules de crasse sont compri­mées à travers le tissu en raison de la perte de pres­sion (créée par l'ac­cu­mu­la­tion d'im­pu­retés). Tous les filtres d'eau potable BWT ont une finesse de filtra­tion de 90 à 100 µm.

Quelle est la finesse de filtra­tion idéale ?

La finesse de filtra­tion est sélec­tionnée en fonc­tion de l'ap­pli­ca­tion. Nous distin­guons notam­ment ici l'eau potable, l'eau de pluie, l'eau de piscine et l'eau de trai­te­ment. Pour l'eau potable qui est déjà filtrée à la source (dans les entre­prises d'eau potable), les normes DIN/EN pres­crivent de placer des filtres d'une finesse comprise entre 80 et 150 µm. Ceci est à la fois la limite de ce que l'oeil humain peut encore perce­voir et la valeur en dessous de laquelle aucune pertur­ba­tion de fonc­tion­ne­ment ne se produit plus dans des instal­la­tions sani­taires. Pour les eaux de pluie et souter­raines non trai­tées, l'idéal est une filtra­tion plus fine égale ou infé­rieure à 50 µm. Les filtres à sable pour les piscines retiennent des parti­cules supé­rieures à 50 µm. Les filtres d'eaux de trai­te­ment existent dans toutes les finesses, allant même jusqu'à moins de 0,1 µm. La sensi­bi­lité de l'équi­pe­ment de trai­te­ment déter­mine la finesse. En fonc­tion de leur construc­tion, les modèles à filtre fin offrent une effi­ca­cité de fonc­tion­ne­ment nomi­nale (50 à 70 %) ou absolue (>99 %).

Quels filtres d'eau de pluie existent déjà ?

Si l'eau de pluie sert simple­ment à l'ali­men­ta­tion des toilettes, une filtra­tion des parti­cules au moyen d'un filtre à sable ou à poches suffit. D'autre part, vous pouvez opter pour un filtre à charbon actif. Contactez-​nous pour des fiches tech­niques ou un conseil.

Faut-​il choisir un système simplex, duo ou duplex ?

Le simplex clas­sique (1 flacon de résine avec 1 réci­pient à sel) ne sert prati­que­ment plus qu'à l'usage ménager. Pour les gros consom­ma­teurs, l'in­ves­tis­se­ment un peu supé­rieur d'un duo/duplex/multi peut être récu­péré rapi­de­ment grâce à la consom­ma­tion infé­rieure de sel et d'eau de rinçage. Un duplex est constitué de 2 équi­pe­ments simplex qui peuvent fonc­tionner en alter­nance ou en paral­lèle ; un duo consiste en 2 flacons de résine avec 1 commande et 1 réci­pient à sel ; un multi présente plusieurs colonnes, bacs à sel, commandes, ... Un duo coûte à peine plus qu'un simplex, mais offre néan­moins plusieurs avan­tages d'un duplex : eau douce 24h/24 et utili­sa­tion de la capa­cité de résine à 100 %.

Quel type de sel puis-​je utiliser idéa­le­ment pour un adou­cis­seur d'eau ?

Le meilleur sel pour un adou­cis­seur d'eau est un sel sous forme de comprimés. Essayez d'éviter le sel en cris­taux : celui-​ci est moins pur et se dissout moins faci­le­ment, ce qui peut entraîner l'obs­truc­tion du clapet à saumure. Les BWT PERLA-​TABS ont une pureté de 99,6 % et sont dispo­nibles chez les gros­sistes de maté­riel sani­taire proches de chez vous ou sur la boutique en ligne.

Quelle dureté rési­duelle faut-​il sélec­tionner ?

Pour l'eau potable, la norme de 15°f exis­tait anté­rieu­re­ment ; celle-​ci avait surtout été déter­minée pour ne pas corroder trop vite les conduites en cuivre et en acier galva­nisé. Depuis l'uti­li­sa­tion géné­ra­lisée de plas­tique, ainsi qu'en raison des direc­tives récentes concer­nant la maîtrise de la légio­nelle (avec le main­tien à haute tempé­ra­ture des conduites circu­laires d'eau chaude), la dureté rési­duelle sélec­tionnée est géné­ra­le­ment comprise entre 5 et 10°f. Lorsque l'eau adoucie alimente aussi des équi­pe­ments plus sensibles, des duretés rési­duelles plus basses doivent être réglées.

Quelles inno­va­tions tech­no­lo­giques peut-​on encore attendre des adou­cis­seurs ?

Les équi­pe­ments sortis derniè­re­ment néces­sitent moins de sel et d'eau de rinçage : cela s'ex­plique d'abord par l'uti­li­sa­tion de volumes réduits de résine dans des montages duo ou multi ; les recherches ont en effet montré qu'une effi­ca­cité supé­rieure de l'échange d'ions est obtenue à partir de volumes de résine réduits. Dans les grandes instal­la­tions, le gaspillage de l'eau est contré par la mesure de conduc­ti­bi­lité et par la limi­ta­tion des problèmes liés à la fluc­tua­tion de la pres­sion dans l'eau d'ali­men­ta­tion grâce à l'uti­li­sa­tion d'une pompe à jet au lieu des venturi tradi­tion­nels.
Voir plus (6)

Filtra­tion

Quels filtres d'eau potable existent déjà ?

Il existe une large gamme allant des filtres simples avec cartouches jetables aux filtres à rinçage auto­ma­tique avec contact d'alarme pour les systèmes de gestion des bâti­ments. Des filtres avec systèmes de rinçage à contre-​courant four­nissent aussi, pendant les rinçages, une eau filtrée aux utili­sa­teurs. Les éléments de filtre tissés doivent être évités étant donné que les parti­cules de crasse sont compri­mées à travers le tissu en raison de la perte de pres­sion (créée par l'ac­cu­mu­la­tion d'im­pu­retés). Tous les filtres d'eau potable BWT ont une finesse de filtra­tion de 90 à 100 µm.

Quelle est la finesse de filtra­tion idéale ?

La finesse de filtra­tion est sélec­tionnée en fonc­tion de l'ap­pli­ca­tion. Nous distin­guons notam­ment ici l'eau potable, l'eau de pluie, l'eau de piscine et l'eau de trai­te­ment. Pour l'eau potable qui est déjà filtrée à la source (dans les entre­prises d'eau potable), les normes DIN/EN pres­crivent de placer des filtres d'une finesse comprise entre 80 et 150 µm. Ceci est à la fois la limite de ce que l'oeil humain peut encore perce­voir et la valeur en dessous de laquelle aucune pertur­ba­tion de fonc­tion­ne­ment ne se produit plus dans des instal­la­tions sani­taires. Pour les eaux de pluie et souter­raines non trai­tées, l'idéal est une filtra­tion plus fine égale ou infé­rieure à 50 µm. Les filtres à sable pour les piscines retiennent des parti­cules supé­rieures à 50 µm. Les filtres d'eaux de trai­te­ment existent dans toutes les finesses, allant même jusqu'à moins de 0,1 µm. La sensi­bi­lité de l'équi­pe­ment de trai­te­ment déter­mine la finesse. En fonc­tion de leur construc­tion, les modèles à filtre fin offrent une effi­ca­cité de fonc­tion­ne­ment nomi­nale (50 à 70 %) ou absolue (>99 %).

Quels filtres d'eau de pluie existent déjà ?

Si l'eau de pluie sert simple­ment à l'ali­men­ta­tion des toilettes, une filtra­tion des parti­cules au moyen d'un filtre à sable ou à poches suffit. D'autre part, vous pouvez opter pour un filtre à charbon actif. Contactez-​nous pour des fiches tech­niques ou un conseil.

Quels filtres d'eau potable existent déjà ?

Il existe une large gamme allant des filtres simples avec cartouches jetables aux filtres à rinçage auto­ma­tique avec contact d'alarme pour les systèmes de gestion des bâti­ments. Des filtres avec systèmes de rinçage à contre-​courant four­nissent aussi, pendant les rinçages, une eau filtrée aux utili­sa­teurs. Les éléments de filtre tissés doivent être évités étant donné que les parti­cules de crasse sont compri­mées à travers le tissu en raison de la perte de pres­sion (créée par l'ac­cu­mu­la­tion d'im­pu­retés). Tous les filtres d'eau potable BWT ont une finesse de filtra­tion de 90 à 100 µm.

Quelle est la finesse de filtra­tion idéale ?

La finesse de filtra­tion est sélec­tionnée en fonc­tion de l'ap­pli­ca­tion. Nous distin­guons notam­ment ici l'eau potable, l'eau de pluie, l'eau de piscine et l'eau de trai­te­ment. Pour l'eau potable qui est déjà filtrée à la source (dans les entre­prises d'eau potable), les normes DIN/EN pres­crivent de placer des filtres d'une finesse comprise entre 80 et 150 µm. Ceci est à la fois la limite de ce que l'oeil humain peut encore perce­voir et la valeur en dessous de laquelle aucune pertur­ba­tion de fonc­tion­ne­ment ne se produit plus dans des instal­la­tions sani­taires. Pour les eaux de pluie et souter­raines non trai­tées, l'idéal est une filtra­tion plus fine égale ou infé­rieure à 50 µm. Les filtres à sable pour les piscines retiennent des parti­cules supé­rieures à 50 µm. Les filtres d'eaux de trai­te­ment existent dans toutes les finesses, allant même jusqu'à moins de 0,1 µm. La sensi­bi­lité de l'équi­pe­ment de trai­te­ment déter­mine la finesse. En fonc­tion de leur construc­tion, les modèles à filtre fin offrent une effi­ca­cité de fonc­tion­ne­ment nomi­nale (50 à 70 %) ou absolue (>99 %).

Quels filtres d'eau de pluie existent déjà ?

Si l'eau de pluie sert simple­ment à l'ali­men­ta­tion des toilettes, une filtra­tion des parti­cules au moyen d'un filtre à sable ou à poches suffit. D'autre part, vous pouvez opter pour un filtre à charbon actif. Contactez-​nous pour des fiches tech­niques ou un conseil.
Voir plus (1)

Eau de chauf­fage

Pour­quoi est-​il recom­mandé de faire traiter l'eau des instal­la­tions servant au refroi­dis­se­ment, au chauf­fage ou à la produc­tion de vapeur?

Le trai­te­ment chimique de l’eau augmente le rende­ment, la durée de vie et la fiabi­lité des instal­la­tions. Ce trai­te­ment chimique est basé sur l’uti­li­sa­tion de moyens empê­chant effi­ca­ce­ment la corro­sion, la forma­tion de tartre et la pollu­tion bacté­rio­lo­gique. Vous évitez ainsi des risques de conta­mi­na­tion et préservez vos instal­la­tions.

Un dosage correct de produits soigneu­se­ment choisis permet d’amé­liorer sensi­ble­ment le rende­ment des instal­la­tions tout en respec­tant toutes les normes

Comment est-​il possible d'éviter les dépôts de calcaire et la corro­sion dans mon instal­la­tion de chauf­fage ?

Idéa­le­ment, mon instal­la­tion de chauf­fage est remplie d'eau ayant une conduc­ti­bi­lité <100 µS/cm. Dans les petites instal­la­tions (ména­gères), il suffit d'adoucir simple­ment l'eau de remplis­sage, mais pour des volumes d'eau plus impor­tants, il est préfé­rable de remplir les instal­la­tions à l'aide d'un équi­pe­ment d'os­mose inverse mobile. Pour des instal­la­tions exis­tantes qui présentent des problèmes de corro­sion, il est possible de réaliser un bran­che­ment dans la conduite circu­laire et de recourir ici à un démi­né­ra­li­sa­teur mobile. De cette façon, la qualité de l'eau peut être améliorée pendant le fonc­tion­ne­ment du chauf­fage.

Pour­quoi est-​ce que l'ajout de produits chimiques n'est-​il pas la première solu­tion à privi­lé­gier pour mon système de chauf­fage ?

La plupart du temps, nous ne connais­sons pas le contenu exact de l'ins­tal­la­tion et nous avons tendance à ajouter trop de produit, ce qui peut entraîner des problèmes de fonc­tion­ne­ment. En général, la teneur en ingré­dients actifs n'est pas contrôlée ou mesurée par la suite ; elle continue à être consommée et, après un certain temps, il ne reste plus rien et il n'y a plus de protec­tion. A ce moment-​là, la corro­sion a le champ libre.
Dans certaines situa­tions, un trai­te­ment chimique curatif, en complé­ment des trai­te­ments préven­tifs, est indiqué.

Que se passe-​t-il lorsque je ne traite pas mon eau de chauf­fage ?

Le calcaire présent dans l'eau courante va d'abord se déposer dans les parties les plus chaudes. Chaque mm de dépôt calcaire entraîne une perte d'ef­fi­ca­cité d'en­viron 10% !
Ensuite, la corro­sion géné­rale et locale affec­tera l'ins­tal­la­tion et entraî­nera fina­le­ment des dysfonc­tion­ne­ments et des perfo­ra­tions.

Que puis-​je faire pour arrêter la corro­sion de mon système de chauf­fage central actuel ?

Si l'ins­tal­la­tion ne peut être arrêtée et vidangée, l'ins­tal­la­teur ou l'en­tre­prise de main­te­nance peut dessaler l'eau de circu­la­tion en faisant passer une partie de l'eau de circu­la­tion par une déri­va­tion sur une cartouche de démi­né­ra­li­sa­tion pendant quelques jours.

Quel trai­te­ment dois-​je utiliser pour mon instal­la­tion de chauf­fage avec unique­ment de l'acier et/ou du cuivre ?

Pour un petit système de chauf­fage (domes­tique), il suffit d'éli­miner le calcaire de l'eau, soit via l'adou­cis­seur central de l'eau sani­taire, soit au moyen d’un appa­reil mobile que l'ins­tal­la­teur connecte lors du remplis­sage de l'ins­tal­la­tion.
Pour les systèmes de chauf­fage plus impor­tants, et toujours lors­qu'il y a beau­coup de calcaire et de sels (miné­raux) dans l'eau du robinet, cette eau de remplis­sage doit être dessalée : cela se fait avec un appa­reil mobile d'os­mose inverse que l'ins­tal­la­teur connecte lors­qu'il remplit l'ins­tal­la­tion, ou de cartouches à résine de démi­né­ra­li­sa­tion connec­tées en perma­nence.

Quel trai­te­ment dois-​je appli­quer à mon instal­la­tion de chauf­fage qui contient des compo­sants en alumi­nium ?

L'alu­mi­nium est géné­ra­le­ment sensible aux valeurs de pH élevées (acidité). Presque toute l'eau du robinet belge (à l'ex­cep­tion de ceux prove­nant de zones tour­beuses) entraînent un pH trop élevé dans l'eau du chauf­fage central sans aucun trai­te­ment, ce qui provoque de la corro­sion.
Le trai­te­ment idéal de l'eau est le dessa­le­ment par osmose inverse : cette tech­no­logie abaisse la valeur du pH au niveau souhaité.

A quels para­mètres faut-​il prêter atten­tion ?

Les para­mètres les plus impor­tants sont la conduc­ti­bi­lité, la teneur en oxygène et le pH (degré d'aci­dité). Lors du contrôle de l'ins­tal­la­tion de chauf­fage, on mesu­rera aussi la qualité de l'eau, ainsi que l'étan­chéité aux fuites des vases d’ex­pan­sion. Selon les métaux utilisés dans l'ins­tal­la­tion, la valeur du pH doit se situer respec­ti­ve­ment entre 8,2 et 10 pour l'acier, à 9,5 pour le cuivre et à 8,5 pour l'alu­mi­nium. La conduc­ti­bi­lité doit être idéa­le­ment <100 µS/cm et la teneur en oxygène <0,02 mg/l.

Comment est-​il possible d'éviter les dépôts de calcaire et la corro­sion dans mon instal­la­tion de chauf­fage ?

Idéa­le­ment, mon instal­la­tion de chauf­fage est remplie d'eau ayant une conduc­ti­bi­lité <100 µS/cm. Dans les petites instal­la­tions (ména­gères), il suffit d'adoucir simple­ment l'eau de remplis­sage, mais pour des volumes d'eau plus impor­tants, il est préfé­rable de remplir les instal­la­tions à l'aide d'un équi­pe­ment d'os­mose inverse mobile. Pour des instal­la­tions exis­tantes qui présentent des problèmes de corro­sion, il est possible de réaliser un bran­che­ment dans la conduite circu­laire et de recourir ici à un démi­né­ra­li­sa­teur mobile. De cette façon, la qualité de l'eau peut être améliorée pendant le fonc­tion­ne­ment du chauf­fage.

Pour­quoi est-​ce que l'ajout de produits chimiques n'est-​il pas la première solu­tion à privi­lé­gier pour mon système de chauf­fage ?

La plupart du temps, nous ne connais­sons pas le contenu exact de l'ins­tal­la­tion et nous avons tendance à ajouter trop de produit, ce qui peut entraîner des problèmes de fonc­tion­ne­ment. En général, la teneur en ingré­dients actifs n'est pas contrôlée ou mesurée par la suite ; elle continue à être consommée et, après un certain temps, il ne reste plus rien et il n'y a plus de protec­tion. A ce moment-​là, la corro­sion a le champ libre.
Dans certaines situa­tions, un trai­te­ment chimique curatif, en complé­ment des trai­te­ments préven­tifs, est indiqué.

Que se passe-​t-il lorsque je ne traite pas mon eau de chauf­fage ?

Le calcaire présent dans l'eau courante va d'abord se déposer dans les parties les plus chaudes. Chaque mm de dépôt calcaire entraîne une perte d'ef­fi­ca­cité d'en­viron 10% !
Ensuite, la corro­sion géné­rale et locale affec­tera l'ins­tal­la­tion et entraî­nera fina­le­ment des dysfonc­tion­ne­ments et des perfo­ra­tions.

Que puis-​je faire pour arrêter la corro­sion de mon système de chauf­fage central actuel ?

Si l'ins­tal­la­tion ne peut être arrêtée et vidangée, l'ins­tal­la­teur ou l'en­tre­prise de main­te­nance peut dessaler l'eau de circu­la­tion en faisant passer une partie de l'eau de circu­la­tion par une déri­va­tion sur une cartouche de démi­né­ra­li­sa­tion pendant quelques jours.

Quel trai­te­ment dois-​je utiliser pour mon instal­la­tion de chauf­fage avec unique­ment de l'acier et/ou du cuivre ?

Pour un petit système de chauf­fage (domes­tique), il suffit d'éli­miner le calcaire de l'eau, soit via l'adou­cis­seur central de l'eau sani­taire, soit au moyen d’un appa­reil mobile que l'ins­tal­la­teur connecte lors du remplis­sage de l'ins­tal­la­tion.
Pour les systèmes de chauf­fage plus impor­tants, et toujours lors­qu'il y a beau­coup de calcaire et de sels (miné­raux) dans l'eau du robinet, cette eau de remplis­sage doit être dessalée : cela se fait avec un appa­reil mobile d'os­mose inverse que l'ins­tal­la­teur connecte lors­qu'il remplit l'ins­tal­la­tion, ou de cartouches à résine de démi­né­ra­li­sa­tion connec­tées en perma­nence.

Quel trai­te­ment dois-​je appli­quer à mon instal­la­tion de chauf­fage qui contient des compo­sants en alumi­nium ?

L'alu­mi­nium est géné­ra­le­ment sensible aux valeurs de pH élevées (acidité). Presque toute l'eau du robinet belge (à l'ex­cep­tion de ceux prove­nant de zones tour­beuses) entraînent un pH trop élevé dans l'eau du chauf­fage central sans aucun trai­te­ment, ce qui provoque de la corro­sion.
Le trai­te­ment idéal de l'eau est le dessa­le­ment par osmose inverse : cette tech­no­logie abaisse la valeur du pH au niveau souhaité.

A quels para­mètres faut-​il prêter atten­tion ?

Les para­mètres les plus impor­tants sont la conduc­ti­bi­lité, la teneur en oxygène et le pH (degré d'aci­dité). Lors du contrôle de l'ins­tal­la­tion de chauf­fage, on mesu­rera aussi la qualité de l'eau, ainsi que l'étan­chéité aux fuites des vases d’ex­pan­sion. Selon les métaux utilisés dans l'ins­tal­la­tion, la valeur du pH doit se situer respec­ti­ve­ment entre 8,2 et 10 pour l'acier, à 9,5 pour le cuivre et à 8,5 pour l'alu­mi­nium. La conduc­ti­bi­lité doit être idéa­le­ment <100 µS/cm et la teneur en oxygène <0,02 mg/l.

Comment est-​il possible d'éviter les dépôts de calcaire et la corro­sion dans mon instal­la­tion de chauf­fage ?

Idéa­le­ment, mon instal­la­tion de chauf­fage est remplie d'eau ayant une conduc­ti­bi­lité <100 µS/cm. Dans les petites instal­la­tions (ména­gères), il suffit d'adoucir simple­ment l'eau de remplis­sage, mais pour des volumes d'eau plus impor­tants, il est préfé­rable de remplir les instal­la­tions à l'aide d'un équi­pe­ment d'os­mose inverse mobile. Pour des instal­la­tions exis­tantes qui présentent des problèmes de corro­sion, il est possible de réaliser un bran­che­ment dans la conduite circu­laire et de recourir ici à un démi­né­ra­li­sa­teur mobile. De cette façon, la qualité de l'eau peut être améliorée pendant le fonc­tion­ne­ment du chauf­fage.

Pour­quoi est-​ce que l'ajout de produits chimiques n'est-​il pas la première solu­tion à privi­lé­gier pour mon système de chauf­fage ?

La plupart du temps, nous ne connais­sons pas le contenu exact de l'ins­tal­la­tion et nous avons tendance à ajouter trop de produit, ce qui peut entraîner des problèmes de fonc­tion­ne­ment. En général, la teneur en ingré­dients actifs n'est pas contrôlée ou mesurée par la suite ; elle continue à être consommée et, après un certain temps, il ne reste plus rien et il n'y a plus de protec­tion. A ce moment-​là, la corro­sion a le champ libre.
Dans certaines situa­tions, un trai­te­ment chimique curatif, en complé­ment des trai­te­ments préven­tifs, est indiqué.

Que se passe-​t-il lorsque je ne traite pas mon eau de chauf­fage ?

Le calcaire présent dans l'eau courante va d'abord se déposer dans les parties les plus chaudes. Chaque mm de dépôt calcaire entraîne une perte d'ef­fi­ca­cité d'en­viron 10% !
Ensuite, la corro­sion géné­rale et locale affec­tera l'ins­tal­la­tion et entraî­nera fina­le­ment des dysfonc­tion­ne­ments et des perfo­ra­tions.

Que puis-​je faire pour arrêter la corro­sion de mon système de chauf­fage central actuel ?

Si l'ins­tal­la­tion ne peut être arrêtée et vidangée, l'ins­tal­la­teur ou l'en­tre­prise de main­te­nance peut dessaler l'eau de circu­la­tion en faisant passer une partie de l'eau de circu­la­tion par une déri­va­tion sur une cartouche de démi­né­ra­li­sa­tion pendant quelques jours.

Quel trai­te­ment dois-​je utiliser pour mon instal­la­tion de chauf­fage avec unique­ment de l'acier et/ou du cuivre ?

Pour un petit système de chauf­fage (domes­tique), il suffit d'éli­miner le calcaire de l'eau, soit via l'adou­cis­seur central de l'eau sani­taire, soit au moyen d’un appa­reil mobile que l'ins­tal­la­teur connecte lors du remplis­sage de l'ins­tal­la­tion.
Pour les systèmes de chauf­fage plus impor­tants, et toujours lors­qu'il y a beau­coup de calcaire et de sels (miné­raux) dans l'eau du robinet, cette eau de remplis­sage doit être dessalée : cela se fait avec un appa­reil mobile d'os­mose inverse que l'ins­tal­la­teur connecte lors­qu'il remplit l'ins­tal­la­tion, ou de cartouches à résine de démi­né­ra­li­sa­tion connec­tées en perma­nence.

Quel trai­te­ment dois-​je appli­quer à mon instal­la­tion de chauf­fage qui contient des compo­sants en alumi­nium ?

L'alu­mi­nium est géné­ra­le­ment sensible aux valeurs de pH élevées (acidité). Presque toute l'eau du robinet belge (à l'ex­cep­tion de ceux prove­nant de zones tour­beuses) entraînent un pH trop élevé dans l'eau du chauf­fage central sans aucun trai­te­ment, ce qui provoque de la corro­sion.
Le trai­te­ment idéal de l'eau est le dessa­le­ment par osmose inverse : cette tech­no­logie abaisse la valeur du pH au niveau souhaité.

A quels para­mètres faut-​il prêter atten­tion ?

Les para­mètres les plus impor­tants sont la conduc­ti­bi­lité, la teneur en oxygène et le pH (degré d'aci­dité). Lors du contrôle de l'ins­tal­la­tion de chauf­fage, on mesu­rera aussi la qualité de l'eau, ainsi que l'étan­chéité aux fuites des vases d’ex­pan­sion. Selon les métaux utilisés dans l'ins­tal­la­tion, la valeur du pH doit se situer respec­ti­ve­ment entre 8,2 et 10 pour l'acier, à 9,5 pour le cuivre et à 8,5 pour l'alu­mi­nium. La conduc­ti­bi­lité doit être idéa­le­ment <100 µS/cm et la teneur en oxygène <0,02 mg/l.
Voir plus (17)

Osmose inverse

Quels équi­pe­ments d’os­mose inverse existent déjà ?

La gamme proposée par BWT va des équi­pe­ments simples (pompe à membrane) pour quelques litres à l'heure aux instal­la­tions hygié­niques à commande par fréquence pour les gros débits; des équi­pe­ments destinés au trai­te­ment de l'eau douce et de l'eau de mer pour la prépa­ra­tion d'eau potable et d'eau de trai­te­ment. Enfin, plusieurs options sont possibles allant des appa­reils compacts pour humi­di­fi­ca­teurs d'air et lave-​vaisselle aux équi­pe­ments EDI (déio­ni­sa­tion élec­trique) de haute valeur pour les labo­ra­toires, les divi­sions de stéri­li­sa­tion et la dialyse rénale.

Quelle conduc­ti­bi­lité faut-​il viser ?

Pour 70 % de l'eau de ville belge, la conduc­ti­bi­lité avoi­sine 700 µS/cm, elle est de seule­ment 100 µS/cm en Campine et dans les Hautes Fagnes pour atteindre 1100 µS/cm à Liège et à la Côte occi­den­tale. Notre eau de chauf­fage doit avoir idéa­le­ment une conduc­ti­bi­lité <100 µS/cm pour ne pas occa­sionner de corro­sion dans les conduites ; les eaux de trai­te­ment suivent géné­ra­le­ment les normes inter­na­tio­nales pour la conduc­ti­bi­lité et d'autres para­mètres auxquels l'eau alimen­taire doit satis­faire.

Demander conseil

Nous sommes toujours prêts à vous aider à trouver les produits BWT qui corres­pondent le mieux à vos besoins. N'hé­sitez pas à prendre contact avec nos experts pour obtenir des conseils et répondre à vos ques­tions.  

Visitez votre site web

  • Afrique du Sud
  • Allemagne
  • Autriche
  • Danemark
  • Espagne
  • Etats-Unis
  • Finlande
  • France
  • Hongrie
  • Italie
  • Norvège
  • Pays-Bas
  • Pologne
  • Royaume-Uni
  • Russie
  • Site Web international
  • Suède
  • Suisse
  • Tchéquie
  • Ukraine
Etats-Unis
Restez sur cette page